Grande journée de manifestation intersyndicale vendredi 24 janvier
Jeudi 23 janvier : Retraite aux Flambeaux
TOULOUSE : 17h30 Gare Matabiau jusqu’à Jean-Jaurès
PARIS : 18h00 Nation
LYON : 16h30 Gare de la Part Dieu, côté Villette
VOIRON : 18h00 Bourse du Travail, place Jacques Antoine Gau
GRENOBLE : 17h00 Porte de France
BORDEAUX : 18h30 Place Stalingrad
LA ROCHELLE : 17h30 Gare
RENNES : 17h00 Esplanade Charles de Gaulle
TOULON : 18h30 Gare SNCF
MARSEILLE : 19h00 Port autonome de Marseille – Porte 2C – Bd des Bassins de Radoub
BESANCON : 18h00 Parking de la Citadelle
BELFORT : 18h00 Parking Emile Géant
Vendredi 24 janvier : Manifestation intersyndicale et interprofessionnelle
TOULOUSE : 10h00 Saint Cyprien
PARIS : 11h00 Place de la République (direction Concorde)
LYON : 11h30 Manufacture des Tabacs
GRENOBLE : 10h00 Gare SNCF
BOURGOIN : 10h30 Place Saint Michel
TOUR DU PIN : 14h30 devant la CPAM
BORDEAUX : 11h30 Place de la République
LA ROCHELLE : 14h00 Gare
MARSEILLE : 10h30 Porte d’Aix
BESANCON : 10h30 Parvis de la Gare
BELFORT : 10h00 Place de la Résistance
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POINTS DE RENDEZ-VOUS :
TOULOUSE :
Rendez-vous CGT AKKA à 13h30 devant le restaurant tapas Les Chimères.
Départ: 14h00 Place Intérieure Saint CYPRIEN,
Puis Allés Charles de FITTES, Pont des Catalans, Avenue Paul SEJOURNE, Boulevard LASCROSSES, Place Arnaud BERNARD, Boulevard d’ARCOLE, Boulevard de STRASBOURG, Place WILSON, Boulevard Lazare CARNOT, Environ 5 km.
Arrivée: Monument aux Morts Allées Forain François VERDIER
ILE DE FRANCE :
Pour l’Ile-de-France, rendez-vous Gare de l’Est – 14h
ISERE :
Grenoble : 10h gare sncf
Roussillon-Vienne : 10h place de la République à Roussillon
Bourgoin Jallieu : 10h30 place St Michel puis 13h rassemblement solidaire devant le Medipole
Tour du pin : 15h30 devant la sécurité sociale (130 rue d’Italie)
RHONE :
Lyon : Manifestation à 10h30 au départ de la Manufacture des Tabacs
Villefranche : Place de la Libération à 16h
Toute ressemblance avec AKKA serait un pur hasard...
Parce que bien souvent les dirigeants, les managers, ne défendent pas les salariés quand un marché et l'argent sont en jeu.
Dans la majorité des cas, celui, ceux ou celle(s) qui portent des accusations contre
un manager ou des pratiques de l’entreprise signent leur arrêt de mort. C’est ainsi.(*)
Les
entreprises, bien que prétendant le contraire, ne supportent pas la critique, la remise
en cause, le courage (le vrai) et la solidarité entre les salariés.
La seule remise en cause acceptée est celle qui vient d’en haut et dont l’objectif est,
bien souvent, soit de critiquer diplomatiquement l’équipe dirigeante précédente, soit
de faire un mea culpa hypocrite parce que l’entreprise se trouve éclaboussée par un
scandale.
Les salariés, eux, doivent adhérer aveuglément à l’entreprise, ses valeurs (celles
affichées sur des posters, pas les vraies), ses objectifs, ses méthodes.
Critiquer ou mettre en cause un manager, une méthode, un process, un outil, c’est
remettre en cause l’entreprise et sa capacité à promouvoir les bonnes personnes,
à appliquer des méthodes saines et éprouvées, à choisir des outils adéquats. Ces
personnes ont fait preuve, à une autre échelle, du même courage que les lanceurs
d’alerte. Elles représentent donc un danger potentiel. Pire encore si elles ont agi en
groupe. L’entreprise est une créature totalitaire qui ne supporte pas qu’il puisse exister
un lien de solidarité entre les salariés, la seule loyauté autorisée est celle envers elle-même.
Source : Didier Bille - La machine à broyer - Recruter, casser, jeter.
(*) Contactez vos représentants du personnel, ne restez pas seuls, des solutions existent pour vous défendre et dénoncer les mauvais managers et dirigeants !