C’est l’un des engagements de François Hollande :
construire l’égalité professionnelle et lutter
contre la précarité des femmes. Elles sont les
premières à subir les temps partiels
imposés, avec leur lot de bas salaires et d’accès
aux droits restreints. Vanté comme une avancée,
l’accord national interprofessionnel est censé encadrer
ces temps partiels. Il est en réalité peu
contraignant pour les employeurs et pourrait même
accélérer la précarisation des femmes.